Elle est
partie en claquant la porte avec une force inutile.
Je suis resté débout et
j’ai écouté sa voiture démarrer, le crissement des pneus et le départ
pressé, comme si sa vie était en danger. J’ai mis mes mains dans les poches et
j’ai pensé que je ne comprends pas les femmes, les processus cognitifs qui les
font agir ou, parfois, réagir.
Un autre
verre de vin s’imposait pour tâcher de comprendre la situation. Non, mais
était-elle partie pour de bon et pour toujours? Attendait-elle que je lui
courre après comme la dernière fois, quand j’avais dû appeler toutes ses amies
que je connaissais? J’avais même téléphoné à sa mère qu’elle déteste. La pauvre
femme n’en revenait pas en entendant que sa fille avait disparue depuis deux
jours.
Bon dimanche joli blog et texte Greeting from Belgium
ReplyDeleteJe vous remercie, Louisette, de votre visite!
Delete