La vie
était un combat pour mes parents et cette philosophie personnelle a meublé mon
enfance et mon adolescence. Comment je me suis donc entiché d’une gamine
pourrie qui passait son temps devant ses fringues, quand elle n’était pas
occupée avec un travail d’assimilation et d’accommodation? Comment je me suis
retrouvé mêlé à ses démarches futiles de développement personnel que les riches
gâtés des sociétés occidentales s’offrent pour remplacer toute responsabilité
envers les autres. Non, mais cela rime à quoi cette recherche continuelle de
soi?
Je l’avais rencontrée lors d’un de ses épisodes
de simplicité volontaire. Elle riait de bon cœur, avait une belle lumière dans
le regard et semblait vivre légèrement et insouciamment.
Des questions complexes... et une suite attendue ;)
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