Au réveil, dimanche on nous jetait de gros flocons
F dit : Il me semble que Dieu déplume des oies blanches.
Moi : silence, car je viens de me réveiller et je suis frappée par la poésie de ses dires
F continue : …et à voir la quantité de plumes, je pense que saint Pierre a été convié à la tâche.
Le déplumage a pris fin quelques minutes plus tard.
À croire que Dieu s’est rendu compte qu’il travaillait pendant sa journée de repos :)
------------------------------------------------
Plus tard dans la journée, au sujet d’une blouse que je venais d’acheter, F : mon amour, les couleurs de ta blouse me donnent l’envie de la tremper dans de l’huile d’olives et de la manger en petits morceaux
Moi: sans voix
---------------------------------------------
Aujourd’hui, le printemps m’a donné de ses nouvelles : il s’en vient bientôt et les trois couples d’amoureux qui s’embrassaient dans le métro étaient des témoignages vivants.
Histoires succulentes... J'imagine les couleurs de ta blouse!
ReplyDeleteLove, love, love.
ReplyDeleteTon "F" est très poète dès le matin, voire même philosophe !
ReplyDeleteTu ne dois pas t'ennuyer !!! :-)
@ Marie: Jamais... depuis XX ans :)
ReplyDelete@Ötli: :))
@Kenza: je vais prendre une photo :)
Love, love me do..
ReplyDeleteDouceur et plaisir printanier de te lire...Merci.
ReplyDeleteF est bien poétique. Comme 3 couple d'amoureux annonçant le retour du printemps.
ReplyDeleteJ'espère que depuis le ciel ne perd plus de plumes ;-)